INFORMATION :

Manifestation le samedi 23 janvier à 16h, gare d'Hendaye : Parlez en autour de vous !

Rassemblement des opposants aux LGV à Hendaye .
Toutes les associations et personnes désirant contrer ces projets destructeurs sont invitées à cette mobilisation nationale.

=> Lire les détails d'organisation de la manif


La manifestation du 17 octobre à Bayonne contre la LGV et pour la rénovation des voies existantes a été un grand succès : 12 000 manifestant(e)s. Elle a eu des répercussions sur la prise en compte des oppositions à ce projet.

Elle a permis d’avoir des premiers échos dans la presse nationale, qui, depuis, relaie un peu plus les arguments des opposants. Elle a permis aussi de conforter nos élus qui s’étaient positionnés dans l’opposition au projet, et ce malgré la très forte pression subie par plusieurs familles politiques , l’UMP d’une part et le PS d’autre part étant pro-LGV. Et c’est bien l’appui des populations qui leur permet de « tenir bon ».

Aujourd’hui, RFF , la région et l’état essaient de continuer à passer en force, certains même essayant de faire sombrer la population dans une sorte de fatalisme, martelant que « de toute façon, la LGV se fera ».

Nous, nous sommes convaincus que l’abandon du projet est possible, comme cela a été le cas en Provence, ou après de nombreuses et massives manifestations, la décision a été prise d’abandonner la construction de nouvelles voies pour passer sur les voies existantes. Nous pensons aussi que l'utilisation des voies existantes est une alternative au Pays Basque et ailleurs et c'est pour cela que des associations d'autres régions seront également présentes ce jour là.

Nous vous appelons donc à venir à nouveau massivement manifester à Hendaye, le 23 janvier à 16 heures au départ de la gare SNCF d’Hendaye.

=>Lire le tract d'appel à la manifestation

Source CADE

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HENDAYE. Vingt collectifs et associations d'Europe opposés aux LGV se retrouvent samedi matin aux halles pour coordonner leurs actions. Avant la manifestation de l'après-midi

La SNCF songe à supprimer des dessertes pour ses TGV en 2011

source les echos : 18/01/10 

Confrontée à la chute de la profitabilité de ses TGV, la SNCF veut revoir en profondeur ses dessertes dès la fin 2010. Certains axes sont examinés à la loupe et pourraient voir leur offre réduite, comme Paris-Arras, Lille-Strasbourg ou encore Nantes-Strasbourg et Bordeaux-Strasbourg.

L'affaire semble entendue : l'âge d'or financier du TGV est bel et bien révolu. Le budget 2010 de la SNCF - qui doit être examiné mercredi par le conseil d'administration de la compagnie ferroviaire -marque à ce titre un tournant (« Les Echos » du 12 janvier) : la branche grandes lignes SNCF Voyages, jusqu'alors vache à lait du groupe public, devrait voir sa rentabilité s'effondrer cette année, avec un taux de marge opérationnelle tombant à 10,2 %, contre 20,1 % il y a seulement deux ans.

Ce revers de fortune oblige la compagnie ferroviaire à revoir sérieusement son modèle économique. Si bien que certaines lignes non rentables sont désormais clairement menacées, et ce dès 2011. Selon nos informations, la SNCF étudie actuellement une refonte profonde de son offre, ce qui pourrait se traduire par la suppression ou une forte réduction de l'offre sur certaines dessertes. Les orientations définitives doivent être prises au printemps, afin que ces changements soient mis en application en décembre prochain, lors du passage au service d'hiver de 2011.

Lire la suite de l'article : http://www.lesechos.fr/info/transport/020315389051-la-sncf-songe-a-supprimer-des-dessertes-pour-ses-tgv-en-2011.htm

Source  Sud Ouest

LGV. Chaque élu y va de son explication quant au tracé publié hier. A chacun de mesurer aujourd'hui les effets d'un impact direct sur sa commune

Ce qui fait dire par exemple à Pierre-Jean Théron, maire UMP de Saint-Selve, sans triomphalisme aucun : « Je reste un opposant au projet de LGV. Mais, je puis vous assurer que ma commune n'est pas impactée. En définissant des zones classées Natura 2000 sur le PLU, la LGV ne traversera pas la commune. Tout comme elle évite le domaine de Grenade, inscrit à l'inventaire de la Drac. » Et pour revenir sur une récente prise de position vis-à-vis des viticulteurs : « Je n'ai jamais voulu détruire quoi que ce soit. Entre un pied de vigne et une maison, je dis que je choisis la solution la moins pire. »

Les « puissants » épargnés

Marc Gauthier, maire sans étiquette de Saint-Michel-de-Rieufret, s'interroge doublement : « Je ne comprends pas pourquoi on a cherché à dissocier les communes du sud de Bordeaux des autres communes du Sud-Gironde. Et pourquoi, le tracé modifié fait-il apparaître aujourd'hui une boucle qui vient mordre sur notre commune ? »

Son collègue de Landiras y voit l'explication suivante : « On nous a expliqué qu'il n'était pas possible de coller la LGV le long de l'autoroute, parce qu'il y avait trop de méandres. Comment justifier alors que l'on évite soigneusement de passer sur certaines propriétés viticoles, sinon par le fait qu'elles bénéficient de sérieux appuis, quand on s'assoit sur d'autres ? », s'insurge Jean-Marc Pelletant (Modem).

Michel Lacôme, maire PS de Balizac insiste, lui aussi, sur une erreur sur la carte : « C'est bien par l'ouest que notre commune sera touchée. » Mais lui aussi reste persuadé que « dans cette affaire, c'est du chacun pour soi. C'est comme ça que l'on cherche à préserver la région de Sauternes et des Graves, au détriment de la lande...

Lire la suite de l'article de Sud Ouest : http://www.sudouest.com/gironde/actualite/langonnais/article/833365/mil/5582725.html

Coordination Vigilance LGV

Communiqué de presse du 11 janvier 2010

 

La concertation menée par RFF est une mascarade !

RFF se comporte comme un Etat dans l'Etat, et tente d'imposer son projet technocratique en méprisant les élus et les populations concernées.

La coordination Vigilance LGV a pris connaissance, sur le site GPSO où elles sont publiées depuis le 8 janvier, des cartes des tracés des LGV qui auraient dû être décidés en Comité de Pilotage réuni aujourd'hui 11 janvier, à Bordeaux. 

Cette publication anticipée de décisions pas encore prises confirme que la concertation à la mode RFF, présentée comme une grande avancée démocratique, n'est que de façade. 

La coordination s'interroge sur la logique qui a prévalu lors de la définition de ce tracé particulièrement tortueux et qui n'évite pas pour autant certaines zones habitées ni les zones naturelles les plus sensibles. Les cartes des enjeux humains et des enjeux naturels auraient elle été croisées avec celle des tractations secrètes ?

Elle considère que la promesse d'une « halte ferroviaire » en Sud Gironde est une insulte faite aux populations et s'apparente à la verroterie distribuée autrefois aux populations indigènes.

La Coordination Vigilance LGV redit son opposition totale à ce projet toujours aussi inutile comme cela a été largement démontré. Sa réalisation serait une catastrophe environnementale, financière et sociale!

Elle maintient son opposition aux projets de lignes nouvelles Bordeaux-Toulouse et Bordeaux-Espagne quel que soit les fuseaux retenus.

Elle demande la modernisation et la mise aux normes des lignes existantes, conditions nécessaires et suffisantes pour offrir rapidement une meilleure desserte de proximité tout en permettant le transport du fret et la circulation des TGV, ceci pour un niveau d'investissements bien inférieur et des dégâts environnementaux infiniment moindres. 

En conséquence la Coordination Vigilance LGV appelle les élus et les citoyens à continuer à se mobiliser contre ce projet insensé et à se joindre à la manifestation organisée à Hendaye le 23 janvier pour protester contre les projets de lignes nouvelles.

Contact Presse:  05 56 62 99 57

coordination-asso-vigilance-lgv@orange.fr

Source G.B

Communiqué de presse

Europe Ecologie tient à réagir aux propos d’Alain Rousset, tenus hier, à l’occasion de la présentation, en Pays Basque, de la liste départementale du parti socialiste pour les élections régionales.

Alain Rousset a déclaré, à propos du projet de LGV : « Les Verts soutiennent partout la LGV. Pourquoi Europe Ecologie est le seul groupe qui s’oppose en Aquitaine ? Tout cela est incompréhensible ».Europe Ecologie Aquitaine constate qu’Alain Rousset travestit totalement la position des Verts au niveau national, dans le but de faire croire qu’il existerait des contradictions entre les écologistes aquitains et ceux des autres régions sur les projets de LGV. La position des Verts, au niveau national, est pourtant parfaitement claire et cohérente. Comme l’avance la commission nationale des transports des Verts « La construction de nouvelles lignes à grande vitesse n'est plus la réponse adaptée pour compléter le réseau des LGV existant à l'heur, où partout, il est urgent de prendre en compte les besoins sociaux et la dimension environnementale pour déterminer les choix politiques ».Donc, contrairement à ce que prétend Alain Rousset, l’opposition d’Europe Ecologie Aquitaine est dans la continuité logique de la position nationale des Verts et des autres composantes du rassemblement d’Europe Ecologie en Aquitaine.Ce n’est donc pas notre position d’opposition à ce projet qui est incompréhensible, mais l'obstination farouche d’Alain Rousset de réaliser cette infrastructure, alors que deux études indépendantes ont démontré de manière incontestable, que la ligne existante Bordeaux-Hendaye aménagée et modernisée, était à même d’absorber le trafic supplémentaire des voyageurs (TER + TGV) et du fret marchandises d’ici 2050 et que, de ce fait, cette LGV est totalement inutile.Ce qui est aussi incompréhensible, c’est qu’Alain Rousset veuille endetter lourdement la région Aquitaine pour ce projet, plus de 600 millions d’euros, alors que le financement des LGV est du ressort exclusif de l’Etat et non des collectivités territoriales. Cet endettement ne manquera pas de se faire au détriment d’autres politiques régionales comme par exemple celles des Transports Express Régionaux (TER) ou des lycées.Europe Ecologie Aquitaine réaffirme que ce projet de LGV est inutile, ruineux et destructeur et entend renforcer son soutien aux associations, élus et citoyens qui s’y opposent. Nous serons nombreux présents à leurs côtés, à la manifestation organisée le samedi 23 janvier à Hendaye.
Monique De Marco.

Source AM

Source Sud Ouest

SUD-GIRONDE. Le fuseau ouest est retenu. Une étude complémentaire est prévue pour le vignoble des Graves, tandis que Captieux serait une halte du futur Service régional grande vitesse

Dire qu'on s'attendait à des surprises, hier matin, à l'issue de la réunion de pilotage des « Grands projets du Sud-Ouest » (Copil) serait mentir. Depuis plusieurs jours déjà, des informations circulaient sur l'évolution du débat et le lieu de passage retenu pour les LGV Sud (Bordeaux-Hendaye et Bordeaux-Toulouse).

On en sait toutefois davantage et, surtout, c'est maintenant officiel. Pour la Gironde, cinq décisions majeures à retenir (1).

1 La LGV passera à l'ouest

Le fuseau d'étude le plus à l'ouest (1 000 mètres de large) a été finalement retenu. Une fois sortie de Bordeaux et une légère courbe entre Saint-Selve et Saint-Michel-de-Rieufret, la ligne Bordeaux-Hendaye, Bordeaux-Toulouse traversera les communes de Landiras, Balizac, Saint-Léger-de-Balson, Préchac, Lucmau et Bernos-Beaulac.

Après ce tronc commun, les LGV sud se sépareront. La Bordeaux- Hendaye piquera vers le sud en traversant les communes d'Escaudes et Captieux. La Bordeaux-Toulouse partira à l'horizontale pour traverser les communes de Cudos, Lerm-et-Musset et atteindre le Lot-et-Garonne.

2 Pour les Graves, les études se poursuivent

Le massif forestier sera le plus lourdement touché par le passage de la LGV. Sauf en sortie de Bordeaux (zone urbaine) et juste après (zone suburbaine) où elles pourraient empiéter sur le vignoble des Graves.

Président du comité de pilotage, le préfet Dominique Schmitt dit avoir bien reçu le message des viticulteurs. « Ici, le fuseau n'est pas encore ici définitivement arrêté. Des études complémentaires vont être engagées au niveau de Saint-Médard-d'Eyrans et de Saint-Selve, afin de mieux insérer la LGV dans le paysage et réduire les impacts en zone viticole. »

Des études similaires à celles poursuivies au niveau de Bayonne et au nord de Toulouse. Le choix définitif sera révélé lors du prochain Copil, en mai prochain.

3 Des réunions plus proches du terrain

Le préfet tient à rassurer les habitants de la Gironde comme ceux des autres départements traversés qui pensent que le débat est clos.

« La concertation est loin d'être terminée, précise le préfet. Une concertation plus importante encore va être engagée dans les semaines qui viennent, au plus proche du terrain. » Ce qui, selon lui, ne pouvait pas se faire tant que le fuseau n'était pas retenu et que l'on ne connaissait pas encore les communes touchées. Le préfet promet également la création de deux groupes de travail spécifiques « sylviculteurs » et « viticulteurs ».

Le fuseau de 500 mètres ne sera décidé qu'après tout cela, début 2011, année de la mise en route du dossier de l'enquête publique.

Lire la suite de l'article de Sud Ouest : http://www.sudouest.com/gironde/actualite/article/832305/mil/5579133.html

Le comité de pilotage vient de rendre public les fuseaux de 1 000 mètres à l'intérieur desquels on dessinera la ligne nouvelle LGV.

--> Téléchargez la carte du fuseau retenu par le comité de pilotage

 Spécial COPIL : téléchargez le Flash Infos de janvier 2010

11 janvier 2010 : une étape importante pour les GPSO

Source site RFF

Dominique Schmitt, Préfet coordonnateur, a réuni le comité de pilotage des GPSO ce lundi à Bordeaux. A partir des périmètres d'études arrêtés par le comité de pilotage en avril et septembre dernier et après plusieurs mois d'études et de concertation, le comité de pilotage a retenu et proposé au ministre, pour les deux lignes nouvelles Bordeaux-Toulouse et Bordeaux-Espagne, un fuseau de 1000 mètres sur la quasi-totalité de leur parcours. Seul, sur une partie en limite du Tarn-et-Garonne et de la Haute Garonne, plusieurs possibilités de fuseaux vont encore faire l'objet d'études comparatives et de concertation dans les semaines qui suivent.
Le comité de pilotage a permis également de confirmer les fonctionnalités des lignes nouvelles, les dessertes des grandes agglomérations et le développement de services régionaux à grande vitesse. Il a été suivi d'une conférence de presse.

--> Téléchargez  le communiqué de presse de la Préfecture


Source Sud Ouest

Le Comité de pilotage du Grand projet sud ouest (GPSO) a dévoilé tout à l'heure les fuseaux d'environ 1 kilomètre de large qui partent de Bordeaux vers le sud.

Un tronc commun va jusqu'à Captieux dans les Landes, puis les lignes se séparent. L'une part vers le pays basque espagnol en passant par Mont-de-Marsan, Dax, Bayonne. L'autre s'éloigne vers l'est en passant par Agen, Montauban, jusqu'à Toulouse.

Lire la suite de l'article de Sud Ouest : http://www.sudouest.com/accueil/actualite/france/article/831511/mil.html

Source france 3

La proposition de tracé dévoilée lundi comprend la création d'un tronçon commun de Bordeaux à Captieux en Gironde puis de deux lignes, l'une vers Hendaye dans les Pyrénées-Atlantiques par l'est des Landes, l'autre vers Toulouse, via Agen et Montauban, pour un total de 400 kilomètres de lignes nouvelles. Des gares TGV sont envisagées à Montauban, Mont-de-Marsan et Agen, avec liaisons en TER vers les gares existantes.

En Gironde, la LGV devrait traverser le vignoble des Graves ( dix propriétés seraient concernées), dans le Lot-et-Garonne, une nouvelle gare serait implantée au Sud d'Agen,

Dans les Landes, une gare pourrait être installée prés de Saint-Paul-les-Dax. Enfin au Pays-Basque où les protestations sont vives, le choix s'est porté sur l'axe Urrugne-Biriatou.

Voir la vidéo du journal 19/20 de france 3:  http://jt.france3.fr/regions/popup.php?id=b33a_1920

Source SFR

Une nouvelle réunion du comité de pilotage (Copil) se déroulera en mai, conformément aux souhaits émis par certaines collectivités, le temps que "Réseau ferré de France (RFF) mette à l'étude le tracé proposé par le président du conseil général du Tarn-et-Garonne et celui suggéré par la communauté d'Agglomération de Montauban", s'est félicité Martin Malvy, président (PS) de la région Midi-Pyrénées.

La concertation va également être approfondie au Pays basque avec les populations et certains secteurs d'activités comme les agriculteurs, sylviculteurs et viticulteurs. Au Pays basque, l'option retenue prévoit la création d'une ligne nouvelle, dont une partie importante entre la vallée de l'Adour et la frontière espagnole pourrait être enterrée, a précisé Christian Naudet, responsable des GSPO (Grands projets du Sud-Ouest) chez RFF.

Les tronçons Bordeaux-Espagne et Bordeaux-Toulouse doivent constituer, à l'horizon 2020, le prolongement du projet de LGV Sud Europe-Atlantique (LGV-SEA), dont le tronçon central, entre Tours et Bordeaux, est prévu pour 2016. (Source Europe1)

La prochaine étape importante sera la présentation d’un parcours plus précis, de 500 mètres de large.

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LGV vers Toulouse et l’Espagne : Mamère dénonce "un passage en force"

11 janvier 2010 Transport-rail-LGV-partis-Verts-régionales

Noël Mamère, député-maire (Verts) de Bègles (Gironde), a estimé lundi que le couloir de 1.000 mètres dans lequel doit s’inscrire le tracé des futures lignes à grande vitesse de Bordeaux vers l’Espagne et Toulouse, constituait "une tentative de passage en force".

"Cette affaire va être un des enjeux principaux des élections régionales. Il ne sera pas possible pour les écologistes de construire une majorité avec les socialistes si on ne revoit pas la copie", a déclaré M. Mamère à l’AFP.

"Nous serons du côté de ceux qui se battent contre ce projet d’infrastructure", a-t-il promis.

Le fuseau de 1.000 mètres dévoilé lundi à l’issue d’un comité de pilotage auquel ont notamment assisté Alain Rousset et Martin Malvy, présidents (PS) respectivement des régions Aquitaine et Midi-Pyrénées, constitue "une tentative de passage en force qui doit être rejetée, aussi bien dans le sud-Gironde que dans le Pays basque", a encore dénoncé le député-maire de Bègles.

"Cet argent devrait être consacré à une sorte de plan Marshall pour les transports pour que les conseils régionaux consacrent beaucoup plus d’argent aux lignes de proximité", a-t-il conclu.

La Sepanso Aquitaine, fédération d’associations environnementales, a également dénoncé dans un communiqué "un nouveau corridor ferroviaire dans le sud-Gironde, les Landes et le Lot-et-Garonne qui saccagerait irréversiblement de nombreuses zones naturelles parmi les plus riches et les plus fragiles d’Aquitaine".

Source AFP

Le comité de pilotage va débattre ce matin des fuseaux de 1 000 mètres à l'intérieur desquels on dessinera la ligne nouvelle. Les élus locaux n'en veulent toujours pas

Pour une fois, aujourd'hui à Bordeaux, il sera question de LGV et... les questions financières ne seront pas abordées. Ce n'est pas pour autant que la discussion sera facile, puisque le comité de pilotage des Grands Projets du Sud-Ouest (GPSO) va tenter de définir les fuseaux de 1 000 mètres à l'intérieur desquels le gouvernement devra définir le tracé (une emprise de 50 mètres de large) qui sera soumis à l'enquête publique.

Le comité de pilotage (Copil) est une instance restreinte qui réunit les présidents des Conseils régionaux de Midi-Pyrénées et d'Aquitaine, le président de RFF, un représentant du ministère de l'Environnement et du Développement durable (Meedat), ainsi que les deux directeurs régionaux de l'Équipement.

Lire la suite de l'article de Sud Ouest :  http://www.sudouest.com/accueil/actualite/france/article/831181/mil/5575435.html

La fumée blanche doit normalement sortir aujourd'hui, en fin de matinée, du bureau du comité de pilotage (Copil) réuni à Bordeaux. Le périmètre d'étude de la LGV retenu par RFF sera dévoilé, et il y a fort à parier que le tracé par Urrugne soit préféré à celui de l'est passant par Ascain et la Rhune. Jean-Louis Laduche, le maire d'Ascain, a d'ailleurs décidé de se rendre à Bordeaux et de tenter de faire entendre sa voix, même s'il ne siège pas au Copil.

Tandis que les élus des trois intercommunalités au sud de Bayonne attendent une réponse de François Fillon sur leur demande de nomination d'un médiateur, le Collectif d'associations de défense de l'environnement (Cade) continue d'enrichir son argumentaire, notamment avant la manifestation du 23 janvier prévue à Hendaye, et les referendums organisés lors du premier tour des Régionales dans neuf communes. D'ailleurs, par rapport aux élections, la consigne du Cade est de ne donner aucune voix aux pro-LGV.

Lire la suite de l'article de Sud Ouest : http://www.sudouest.com/pays-basque/actualite/article/831209/mil/5575851.html

la LGV, ce n'est ni ici, ni ailleurs !

Certains habitants vont peut être soulagés de se sentir moins concernés, pour d'autres au contraire, l'étau semble se resserrer. Tous les villages restent solidaires :

Une date à bloquer sur vos agendas : le 23 janvier 2010

Et c'est tous ensemble qu'il faut nous retrouver le 23 janvier à Hendaye pour montrer notre opposition à ce projet. Ce n'est pas que le tracé qui pose problème, c'est la destruction de notre environnement, le gaspillage des fonds publics, l'abandon des dessertes locales etc... Le CADE organise à Hendaye le 23 janvier 2010, un grand rassemblement des associations opposées aux LGV. Une quinzaine d'assocations, ou collectifs d'associations, de Bretagne, des Alpes, de Poitiers, de Tours, de Limoges, de Gironde et des Landes ont répondu présents, ainsi que les opposants du Pays Basque Sud !

• Consultez le site du CADE

Sud-Ouest Tribune Libre - Jeudi 07 Janvier 2010

LGV : faisceau d'1km défini le 11 janvier

Le comité de pilotage rendra sa décision lundi prochain..

Lire la suite de l'article sur fance3.fr : 

http://aquitaine.france3.fr/dossiers/LGV-:-faisceau-d-1km-d%C3%A9fini-le-11-janvier-59478900.html

Fuseaux étudiés et fuseau proposé GPSO - Décembre 2009

Vous pouvez télécharger en pdf la propositions du tracé proposé de la future LGV
concernant la Gironde et le nord du Lot-et-Garonne :



http://www.gpso.fr/carte_PL1_copil_janv10.pdf

Comme vous pouvez le remarquer, il est question d'"un fuseau proposé"

Et sur les cartes effectivement apparaît un fuseau en plus foncé ... cela ressemble fort à celui qui va être "choisi" lundi lors de la réunion du Copil et annoncé le lendemain à grand renfort de communication

 

Planche 1/4 - Gironde et Lot-et-Garonne
Planche 2/4 - Lot-et-Garonne, Tarn-et-Garonne et Haute Garonne
Planche 3/4 - Landes
Planche 4/4 - Landes et Pyrénées-Atlantiques

Sud-Ouest - Jeudi 07 Janvier 2010

VIN. Une dizaine de châteaux sont menacés. Pour les élus locaux, la vigne est secondaire

Le nord du vignoble des Graves amputé par la future LGV

Bruno Géraud du château Méjean (Ayguemorte les Graves) menacé par la LGV.

voir la vidéo du journal 19/20 de France 3 : 

http://jt.france3.fr/regions/popup.php?id=b33a_1920&video_number=0

C'est lundi que Réseau ferré de France (RFF) dévoilera le tracé ferroviaire de la future LGV (ligne à grande vitesse) qui reliera à l'horizon 2020 Bordeaux à l'Espagne d'un côté et à Toulouse de l'autre.

Sur le front des terroirs viticoles, l'inquiétude vient des Graves, AOC de 3 500 ha s'étirant sur 50 km, à l'ouest de la Garonne, entre Bordeaux et Langon.

« Une dizaine de propriétés sont menacées, pour un total d'environ 40 ha plantés », a regretté hier Jean-Louis Vivière, directeur du syndicat des Graves, lors d'une conférence de presse. « À son entrée nord, ce serait une balafre pour notre AOC qui joue aussi la carte de l'oenotourisme. » Par courrier du 22 décembre, RFF a indiqué que le « tracé Est », dans cette partie immédiatement au sud de Bordeaux, serait vraisemblablement choisi.

Lire la suite de l'article : http://www.sudouest.com/accueil/actualite/vin/article/827189/mil.html

« Si nous ne voulons pas que le vignoble soit coupé en deux, que des châteaux soient condamnés, il nous faut très vite réagir. » Le syndicat viticole des Graves ne veut pas de la LGV Sud, du moins celle qui semble se profiler et qui pourrait empiéter sur les vignes. Dominique Haverlan, président du syndicat, a tiré le signal d'alarme lors de l'assemblée générale du CIVB. Il remettra ça début janvier en lançant une campagne d'information à grande échelle.

Cette intervention ne serait-elle pas un peu tardive ? « Tant que Réseau ferré de France n'avait pas révélé les fuseaux de 1 000 mètres, nous ne pouvions pas savoir si les vignobles seraient touchés. Aujourd'hui, nous le savons », répond Jean-Louis Vivière, directeur du syndicat. Le tracé qui inquiète le plus les viticulteurs est celui qui quitte la voie actuelle à Saint-Médard-d'Eyrans et qui traverse la zone d'appellation.

« Pour le syndicat, ce serait fortement dommageable : ce secteur peut être considéré comme la porte d'entrée de l'AOC Graves avec des châteaux renommés comme le château Le Tuquet, le château Méjean, le château Saint-Jérôme. » Plus au sud, selon le syndicat, d'autres propriétés pourraient aussi être pénalisées par la ligne à grande vitesse comme le château du Grand Bos, le château Haut-Selve ou encore le château Toubar.

Sud-Ouest Langonnais - Vendredi 01 Janvier 2010

LIGNES À GRANDE VITESSE. En 2009, les trois options de tracé Bordeaux/Toulouse et Bordeaux/Espagne ont animé le débat sur un projet que certains refusent en bloc

Les fuseaux se précisent, la mobilisation se renforce

Tout au long de l'année 2009, le Sud-Gironde se sera posé la même question : où est-il exactement prévu que passent les LGV Bordeaux/Toulouse et Bordeaux/Espagne. En mai, « Sud-Ouest » publiait une carte des trois options possibles. C'est à peu de chose près les mêmes tracés que l'on retrouvait fin novembre, quand Réseau ferré de France (RFF) détaillait ces trois mêmes options, réduites désormais à des fuseaux d'un kilomètre.

Lire la suite de l'article : http://www.sudouest.com/gironde/actualite/langonnais/article/822437/mil/5545546.html

Vous pouvez télécharger en pdf les propositions de tracés de la future LGV :


http://treize.blogs.sudouest.com/files/Gironde%2C%20lot%20et%20Garonne%20ouest.pdf